Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent*

Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent*

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH!!!!!!! Entre rage et tristesse, la pièce était cathartique. Elle en a fait pleurer plus d’un et je suis sortie de la salle bouche bée, frissonnante. La musique, le corps, les sons, les comédiens suffisaient à eux-même. Mais pour ceux qui l’ont compris, le texte rajoutait une tout autre dimension au spectacle. L’énergie frappante, passait à travers nos corps, nous énervaient, nous donner envie de gueuler, de sangloter avec les comédiens qui montraient tant d’émotions à travers leurs corps, visages, souffles et voix. Le texte déchirait le coeur, le rythme et la musique enivraient nos oreilles et les visages des comédiens multipliaient les émotions (sensations, presque) transmis par la pièce. 

(Premier vers du poème de “L’Enfant” de Victor Hugo : Les turcs sont passé là. Tout est ruine et deuil. :) )

*titre d’un des poèmes de Victor Hugo

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Ilona