IL VENTO CANTA ENSEMBLE

24 mars 2015 19:30

Musique classique

Programme proposé en partenariat avec l’Institut Cervantes

Il vento canta Ensemble :

Teresa Novoa (soprano)
Beatriz Riobo Agulla (soprano)
Jesús Vicente Monzó (trombone)
José Pons Boïls (trombone)
Carlos E. Pérez (piano)

Il vento canta Ensemble nous vient de Galicie et est composé de deux solistes (soprano),de deux trombones (alto et ténor) et d’un piano.

Les membres du groupe croient à la force d’interprétation, provenant de la combinaison inhabituelle de la musique de Chambre, de la voix humaine et des instruments à vent, devenus une tradition importante, en particulier dans la ville viennoise du 18e siècle, sous l’influence des grands compositeurs comme J.G. Albrechtberguer, G.C. Wagenseil, A. Caldara, Mozart et des travaux de Thomas Gschaltto, l’un des grands trombonistes de l’époque.

Le Groupe s’est spécialisé dans l’interprétation des œuvres classiques et romantique du 20e siècle.

Au XVIIIe siècle, au sein de la dynastie des Habsbourg (l’Autriche actuelle) dominait une tradition musicale riche et laïque. Le trombone y a continué son évolution, alors qu’il n’était plus utilisé dans le reste de l’Europe.

Cela était dû en partie à l’intérêt évident que le peuple et la dynastie portaient à l’instrument, aux travaux de compositeurs, tels que J.G. Albrechtsberguer, G.C. Wagenseil, A. Caldara, W.A. Mozart, ainsi qu’aux travaux des plus grands trombonistes de l’époque, tel que Thomas Gschaltto, un membre de la famille Chistian.

A cette époque et dans la majorité des morceaux religieux de la région, dans les oratorios, rituels et lamentations, on trouvait une partie écrite pour les trombones et formée de voix doubles. Parallèlement, dans les arias - et ce sous l’effet de la nouvelle tendance- on a commencé à donner au trombone un rôle de soliste.

En général les trombones (un ou deux) étaient, lors de la dynastie des Habsbourg, en tête des instruments, aussi obligatoires à utiliser, que les lossepolcro. Les œuvres composées étaient souvent fantaisistes et lourdes.

Programme :

  • G. Caccini : Ave María
  • G. F. Haendel : Lascia ch’io pianga
  • F. Schubert : Auf dem Strom, D.943
  • W. A. Mozart : Agnus Dei
  • H. Berlioz : Le jeune pâtre breton
  • C. Pinsuti : Memory

  • Manuel de Falla :« Nana » de « 7 canciones españolas ».
  • M. Torroba : Petenera
  • G. Giménez : Zapateado de la Tempranica
  • E. Street : Chocolate kisses